Cette fois, ne n’était pas le vote du Congrès pour le Pacte Nickel, renvoyé dédaigneusement pour étude complémentaire en commission à la suite de l’adoption d’une motion préjudicielle. Et signant peut être le glas d’une filière qui faisait le socle et la fierté de l’économie calédonienne. Après quelques envolées passées, sur « les atteintes à la souveraineté » du territoire, les élus ont voté avec une belle unanimité la seule mesure susceptible de maintenir un pan entier de notre modèle social : une aide de la France.
La réalité est toutefois bien plus cruelle, pour celles et ceux qui participent au concert de revendications d’émancipation du territoire, de souveraineté interne, de respect de ses
