Tout n’est pas encore joué pour KNS, mais le terme des six mois fixé par Glencore arrive à grands pas. Si fermeture il y a, ce qui est de plus en plus probable, rien ne permet d’affirmer qu’elle sera définitive. Les dirigeants gardent en effet l’espoir de trouver un repreneur, même au delà du 31 août, les actifs matériels et miniers conservant une valeur internationale considérable. Mais l’entreprise doit se préparer au pire, ce dont elle s’acquitte auprès de ses salariés depuis plusieurs mois. Selon un document interne, elle est parvenue à un accord sur les conditions dans lesquelles seront effectués les licenciement économiques, des conditions bien plus généreuses que ne l’impose la réglementation.
Dans cette note interne, du 15 juillet, intitulée “Signature d’un accord d’entreprise portant sur les indemnités et les mesures sociales d’accompagnement pour le personnel concerné par le Ce contenu est réservé aux abonnés
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