(Article réservé aux abonnés) – Casse-tête inextricable pour le SMTU, et une grosse participation des contribuables pour le SMTI qui a repris partiellement du service. Les « réseaux », présentés en leur temps comme l’alpha et l’oméga du transport public, ont été mis en place à coup de milliards prélevés en grande partie dans la poche de ceux qui paient l’impôt. Aujourd’hui, dans une Calédonie ruinée, il n’est plus possible de financer ce luxe calqué sur les pays riches et développés. Le territoire est ruiné ! Les Calédoniens ont beaucoup de mal à le réaliser, et de nombreux organismes réclament des subventions, comme dans « le monde d’avant ». Pourtant, le Caillou a soudainement été plongé dans le tiers monde, le 13 mai dernier. Sa survie est à présent à la charge du contribuable « zoreille » …
3 dizaines de milliards pour financer le Néobus, lequel n’a jamais atteint l’équilibre financier, obligeant la province et les communes de l’agglo à rajouter au moins mille millions chaque année pour équilibrer les comptes. Si l’étude de marché, pour la mise en œuvre du réseau, a été réalisée, il faudrait en exiger le remboursement tellement ses conclusions se sont révélées fausses ! Impossible, demain, de remettre en fonctionnement une telle machine à précipiter l’argent du contribuable dans un trou sans fond. Mais comment diable faisait-on, dans le monde d’avant, sans subvention pour les transports publics ?
C’est le secteur privé qui avait pris en charge ce secteur, de sa propre initiative. À Nouméa, et comme aujourd’hui, les bus appartenaient, soit au chauffeur, soit à une société. Des lignes étaient