Comme on l’attendait, le Premier ministre n’a pas manqué d’évoquer la situation de la Nouvelle-Calédonie lors de sa déclaration de politique générale. Cependant, c’est le sujet politique qui a été privilégié, et plus précisément, l’avenir institutionnel du territoire. Rien, en revanche, sur les suites de la déflagration du 13 mai. Quelles significations, a priori, sur la reprise des négociations, et sur l’aide de l’État pour la reconstruction et la relance économique de la Nouvelle-Calédonie ? Éléments de réponse.
