Des chercheurs de l’Université d’Oxford ont analysé l’impact des facteurs de risque modifiables, c’est à dire ceux qui ne sont pas hérités génétiquement, sur la santé du cerveau. Leur étude s’est appuyée sur les données de santé et les IRM de 40 000 personnes âgées de 44 à 82 ans au Royaume-Uni. Précédemment, ces chercheurs avaient identifié les régions cérébrales les plus sujettes à la dégradation, particulièrement sensibles à la maladie d’Alzheimer et à la schizophrénie.
Dans leur dernière recherche, publiée le 27 mars dans le revue “Nature Communications“, ils ont examiné l’impact de 161 facteurs de risque de démence Ce contenu est réservé aux abonnés
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